Quand le soleil se pointe à l´horizon Tu m´égratignes le cœur avec tes épingles à cheveux Et tu dis en baillant chéri fais-moi l´amour Fous ce réveil en l´air et fais-moi du café Brûlant comme ta bouche Quand le soleil entre dans ma maison-on Pierre PERRET
et pis les petits oiseaux dans leur abris ça fait penser à : Le bouvreuil effronté, qui m’espionnait hier déjà, sautille et pirouette à trois pas en stridulant des joliesses absconses dont j’appréhende cependant qu’elles veuillent dire : " Tire-toi de là bonhomme, que je finisse les miettes de ton croissant qui sont tombées dans l’herbe." Eh bon, comme l’oiseau, j’ai la plume frivole et baladeuse et tendance à papillonner autour du sujet sans m’y soumettre, voire même à m’en écarter carrément Pierre DESPROGES
Même si en toute impartialité j'habite le plus beau pays du monde où les nuances de gris se confondent par dessus l'horizon et se mêlent avec l’anthracite des flots, perlé de moutons, un tantinet déchainés par ce putain de coup de vent de merde qui vous empêche de vous tenir sur vos deux roues, je dois avouer (sous la torture pour avoir un prétexte et en breton pour être sur de ne pas être compris par un étranger) que certain quartier du monde extérieur ne manque pas de charme. Pierro
Quand le soleil se pointe à l´horizon
RépondreSupprimerTu m´égratignes le cœur avec tes épingles à cheveux
Et tu dis en baillant chéri fais-moi l´amour
Fous ce réveil en l´air et fais-moi du café
Brûlant comme ta bouche
Quand le soleil entre dans ma maison-on
Pierre PERRET
et pis les petits oiseaux dans leur abris ça fait penser à :
Le bouvreuil effronté, qui m’espionnait hier déjà, sautille et pirouette à trois pas en stridulant des joliesses absconses dont j’appréhende cependant qu’elles veuillent dire :
" Tire-toi de là bonhomme, que je finisse les miettes de ton croissant qui sont tombées dans l’herbe."
Eh bon, comme l’oiseau, j’ai la plume frivole et baladeuse et tendance à papillonner autour du sujet sans m’y soumettre, voire même à m’en écarter carrément
Pierre DESPROGES
Même si en toute impartialité j'habite le plus beau pays du monde où les nuances de gris se confondent par dessus l'horizon et se mêlent avec l’anthracite des flots, perlé de moutons, un tantinet déchainés par ce putain de coup de vent de merde qui vous empêche de vous tenir sur vos deux roues, je dois avouer (sous la torture pour avoir un prétexte et en breton pour être sur de ne pas être compris par un étranger) que certain quartier du monde extérieur ne manque pas de charme.
Pierro
Merci pour cette parenthèse poétique.
SupprimerMagnifique comme ces paysages escarpes... Et cette océan majestueux
Nous quand le soleil se lève... : c'est pour faire place au brouillard !
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