dimanche 29 novembre 2020

Y a d'l'iode là Youpi...

 






ça à le goût de l'iode, le goût des choses simples que nous réalisons, et nous réalisons que ce simple goût pourrais nous manquer. Nous nous en moquons mais si le cynisme s'immisce nous ne goutons pas l'humour du moment. L'humeur de la mer est redevenu calme, ne pas la voire provoque l'amertume. Mais le goût de ces huitres là...... L'iode de l'eau de là! Youpy !

 

dimanche 22 novembre 2020

jeudi 19 novembre 2020

On cause de nous dans l'poste

Radio d'État, vois la geule de l'État (laissez le en entrant)
https://youtu.be/hbazMk5SpAo

dimanche 8 novembre 2020

Qu'il est bon de rier

 Puisqu'on peut rire de toux mais pas avec n'importe covid

C’est un gars qui ne va pas bien du tout. Il se rend au centre de teste.

Le verdict tombe.

- J’ai des mauvaises nouvelles pour vous… Vous avez la Covid 19

Le gars est effondré:

- Oh mon Dieu, et qu’est-ce que vous pouvez faire?’

- Pas grand chose malheureusement puisque la chloroquine semble inopérante. Vous devrez rester en confination absolue et on vous prescrira un régime alimentaire à base de crêpes, de soles, de pizzas et de café lyophilisé.

- Et vous pensez que tout ça, va me sauver?

Et le médecin répond:

- Je ne sais pas, mais en tous cas ce sont des aliments qu’Agnès peut facilement glisser sous la porte.

 Voila, voila...

samedi 7 novembre 2020

Et puis on a vu ça aussi

Livingstones de Kamal Hamadache

Un dispositif de pierres sonnantes electro-percutées dont les projections font ressurgir la mémoire des pierres.

Ca aussi c'est un truc dont on a profité juste avant  d'être enfermés !


mardi 3 novembre 2020

On a aussi vu ça

 Dernier spectacle avant mutation... on balise. Pendant que Manu parlait à la télévision nous on écoutait François qui citait Raymond.

" Si vous le permettez, je vais faire brièvement l'historique de la situation, quelle qu'elle soit !
Il y a quelques mois, souvenez-vous, la situation pour n'être pas pire que celle d'aujourd'hui n'en était pas meilleure non plus !
Déjà nous allions vers la catastrophe et nous le savions...
Nous en étions conscients !
Car il ne faudrait pas croire que les responsables d'hier étaient plus ignorants de la situation que ne le sont ceux d'aujourd'hui !
Oui ! La catastrophe, nous le pensions, était pour demain !
C'est-à-dire qu'en fait elle devait être pour ajourd'hui !
Si mes calculs sont justes !
Or, que voyons-nous aujourd'hui ?
Qu'elle est toujours pour demain !
Alors, je vous pose la question, mesdames et messieurs :
Est-ce en remettant toujours au lendemain la catastrophe que nous pourrions faire je jour même que nous l'éviterons ? D'ailleurs, je vous signale entre parenthèses que si le gouvernement actuel n'est pas capable d'assurer la catastrophe, il est possible que l'opposition d'en empare ! !"

 

"J'ai des doutes" un spectacle poétique, joyeux, décalé... Du Devos à la sauce Morel ou l'inverse




On a vus ça

C'était du temps ou on pouvais rouler mêmes sous la pluie. On est allé voire cette superbe expo sur Bilal. On en a profité pour retrouver les traces du Mouette's Breizh Tour 2019. C'était beau ça roulais, on voyais les amis, on se cultivais...


                    Enki Bilal en vert tendre pour la fin de sa trilogie Animal'z

 À la croisée des arts, des cultures, des temps, des mondes et des sociétés, réels ou fictionnés, son oeuvre se parcourra dans l’exposition, autour des grands thèmes qui s’y déploient. Dessins, peintures, films, écrits, seront présentés, depuis ses débuts dans la bande dessinée dès les années 70 jusqu’à ses oeuvres les plus récentes et, pour certaines inédites, réalisées pour Landerneau, comme la série qu’il prépare en écho avec le célèbre tableau de Picasso, Guernica.


« Maîtrisant les supports artistiques les plus diffusés, du cinéma à la bande dessinée, Enki Bilal a largement participé à l’éveil politique d’une génération, qui a su traverser les murs de la guerre froide et dénoncer les excès d’un capitalisme prédateur sur notre environnement. Il nous interroge aujourd’hui sur l’avenir d’une humanité qui aurait confié sentiments et libertés à des robots et algorithmes. » 

Michel-Édouard Leclerc


« Exposer ses oeuvres, c’est exhiber un peu de sa mémoire cachée. »
Enki Bilal


« La vision d’Enki Bilal est réaliste et fantastique, pessimiste et terrible, profondément marquée par l’Histoire et d’une force rarement exprimée. Les mises en relation dans l’exposition avec des exemples de toutes les époques témoigneront de ces mêmes préoccupations : la monstruosité chez Hiéronymus Bosch et Joel‑Peter Witkin, l’horreur de la guerre chez Jacques Callot et Francisco de Goya, le fantastique chez Gustave Doré et Alfred Kubin, le machinisme chez Man Ray et Lewis Hine, l’hybridation chez Orlan et Tony Oursler. Il y a aussi plus d’un rapport entre l’oeuvre d’Enki Bilal et celle de Francis Bacon. En même temps seront projetés des extraits de films de Fritz Lang, de Ridley Scott,de David Cronenberg.

D’“Enki Bilal”, une épopée dans l’Histoire où tout est relié, le passé, le présent et le futur. »

Serge Lemoine

 

Commissaire en chef de l’exposition, Serge Lemoine
Professeur émérite de l’Université de la Sorbonne (Paris), ancien président du musée d’Orsay et ancien directeur du musée de Grenoble, il a publié de nombreux livres et articles sur l’art des XIXe, XXe siècles et l’art contemporain et organisé de nombreuses expositions en France et dans le monde.

Scénographie Jean-Julien Simonot

Enki Bilal_Le Sommeil du Monstre, planche 18_case 1_1998_Collection particulière

Enki Bilal, Le Sommeil du Monstre, planche 18 case 1, 1998 - Atelier de l'artiste

 

Toutes ressemblances...

 Comme on ne peut plus rouler, le coincoin me propose ça ! Une affaire pour escorter les convois exceptionnels de la Hague : y'a déjà la couleur !





Toutes ressemblances...
Sur cette autoroute hystérique qui nous conduit chez les mutants j'ai troqué mon cœur contre une trique. Je sais que vous avez la beauté destructive et le sourire vainqueur jusqu'au dernier soupir, je sais que vos mâchoires distillent l'agonie.
Je me taperais bien une p'tite reniflette mais avec le FFP3...
Dans cet étrange carnaval on a vendu l'homo sapiens pour racheter du Néandertal. Et les manufactures ont beau se recycler y aura jamais assez de morphine pour tout le monde... Surtout qu'à ce qu'on dit, vous aimez faire durer.
Je mouche mon nez (dans le FFP3), je remonte mes chaussettes... et je bloque mes lendemains je sais que les mouches s'apprêtent autour des tables du festin.
Et j'attends que se dressent vos prochains charniers j'ai raté l'autre guerre pour la photographie, j'espère que vos macchabées (dans un amphithéâtre) seront bien faisandés...
J'ai loupé Halloween, je donne un coup de brosse à mon squelette
L'idiot du village me vend sa carte d'adhérent (de vote) pour que je prenne place dans le grand feu.
J'entends siffler le vent au-dessus des calvaires, je vois les vampires sortir de leurs cercueils pour venir saluer les anges nucléaires (la Hague)... je sais que la ciguë est prête (je sais que ne sais rien).
Mais je sais que dans votre alchimie l'atome ça vaut des traveller’s chèques et que ça suffit comme alibi.
A l'ombre de vos centrales je crache mon cancer, je cherche un nouveau nom pour ma métamorphose et je sais que mes enfants s'appelleront vers de terre.
Je sais que désormais vivre est un calembour la mort est devenue un état permanent, le monde est aux fantômes, aux hyènes et aux vautours...
Étonnant non ?


lundi 2 novembre 2020

Trop précoce

 On a profité des dernières ouacances pour s'occuper un peut.





Bon ben maintenant on fait quoi pendant la confination...