mardi 16 septembre 2008

twenty years after




22 ans après, il saute toujours aussi bien, sauf qu'au lieu d'être à poil au mois de mars, il est en combi au mois d'aout.

9 commentaires:

  1. "il saute toujours aussi bien" a-t-elle dit, mais aussi haut ?

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  2. Faut-il réellement accorder de l'importance au nombre de centimètres, sauter sur un boudin et en être satisfait c'est comme rouler en mobylette: c'est rigolo jusqu'à ce qu'un copain vous vois dessus.

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  3. Pierro, mon ange...
    tu es sublime, sur le coup*, tes vers (verres ?) me rappellent ceux d'un autres :
    "...Un qui ne me contredira pas, s’il m’écoute, c’est cet ami photographe de mode, dont l’hyper séduction anglo-saxonne draine en son lit les plus beaux mannequins du monde. Pendant ses week-ends, le bougre s’occupe à draguer le boudin charolais celluliteux entre la République et la porte Saint-Denis.
    Que le les plus fins mozartiens qui n’ont jamais vibré aux musiques militaires lui jettent la première pierre.
    Quant à ces féroces soldats, je le dis, c’est pas pour cafter, mais y font rien qu’à mugir dans nos campagnes."

    * sur le coups... seulement...

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  4. Ah oui, petite précission, Ce film à été tourné à Port Lay, charmante bourgade de l'Ile de Groix (qui reste le plus beau pays du monde par ailleurs) d'ou le titre...

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  5. ...j'vais chialer tellement c'est bô...

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  6. 'tain, les sports extremes, c'est limite de foutre les jetons...

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  7. ouais et pis y'a 20 ans on le faisait de nuit, bourré ... et à marée basse, mais heureusement y'avait ni caméra ni blog...

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  8. merci à Lanar pour le saut de l'ange et pour la référence... un peut de sus pince... maybe we coming in your contry this winter (je l'écris en anglais pour pas que l'info fuite et que nous nous retrouvions à coures de pelfort-piccon-cassis ou que Marie-Edwige le raconte au Petit Nicolas)

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