jeudi 2 juin 2011
à lire
Rêvant devant un atlas, Ewan McGregor se fit la réflexion qu'il serait génial de faire le tour du monde à moto. Un simple coup de fil à son ami Charley Boorman - tout aussi fan de motos - et, autour d'un dîner, se dessine une formidable aventure, qui est aussi celle d'une amitié. Leur rêve devient vite réalité. Partis d'Europe, ils rejoignent l'Ukraine, le Kazakhstan, la Mongolie et la Russie, puis ensuite traversent l'océan Pacifique pour rejoindre l'Alaska et, via le Canada, ils achèvent leur périple à New York. Rencontres et paysages, plaisir de chevaucher leurs BMW, et de raconter ce voyage humainement fascinant. Car l'aventure est aussi le moyen de s'engager et ils rendent compte, tout au long de leur voyage, des missions de l'UNICEF dans les pays traversés. Notamment en Mongolie, en Ukraine et au Kazakhstan.
C’est pour assouvir leur désir de longue date de faire le tour du monde à moto que les acteurs britanniques Ewan McGregor et Charley Boorman (fils du réalisateur John Boorman) se sont lancés dans cette entreprise extraordinaire et périlleuse baptisée Long Way Round, traversant ainsi pendant trois mois et demi une dizaine de pays d’Europe, d’Asie et d’Amérique du Nord. Ayant pour modèle Ted Simon, dont les aventures à moto ont été relatées dans un ouvrage, ‘Jupiter’s Travels’, les deux passionnés de bécanes sont partis de leur fief londonien pour atteindre New York, soit plus de trente mille kilomètres effectués en seize semaines. Tel un journal de bord, les deux acteurs livrent ainsi leurs sentiments les plus forts, passant de moments de joie, comme la sensation de liberté procurée par la moto roulant à perte de vue sur le bitume, aux moments de doute et de découragement, la douleur de ne pas voir leurs familles respectives, voir à une certaine appréhension de l’inconnu. L’équipe entière de voyage a connu en effet son lot de frayeurs : des accidents de la route, la difficulté de traverser certaines frontières, des routes impraticables, des ennuis avec la police, etc.
Cette aventure jouissive et exceptionnelle est racontée sans langue de bois par deux hommes désireux de tester au maximum leurs limites. Le récit permet également de témoigner de la pauvreté de certaines populations d’Ukraine, du Kazakhstan, de Russie et de Mongolie, et de rappeler l’importance d’organismes d’aides internationaux comme l’Unicef. Courageux !
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j'en parle à ma femme et j'arrive...
RépondreSupprimerouais et p'y tu m'dis comment ça s'est passé
RépondreSupprimerprépare ton Beumeu ...
RépondreSupprimerc'est aussi en vidéo BBC.. " a long way down " ( écosse / le cap ) et " a long way round " leur tour du monde..
RépondreSupprimerIl faut préparer femme, Beumeu et banquier, surtout le banquier ^ ^